Maggie Speaks, originaire de la Caroline du Sud, de Camden plus précisément, fait du volley depuis ses 12 ans. L’Américaine, qui a joué pour l’Université de l’Etat de Caroline du Nord, pour Makedones en Grèce et pour Vitrolles en France, a soif de nouveaux horizons, malgré la distance qui la sépare de sa famille et ses amis, qui lui manquent. Elle n’hésite pas à se réconforter à coup de sensations sportives fortes… et de pains au chocolat !
Pourquoi as-tu décidé de venir à Saint-Dié et quelles sont tes ambitions cette saison ?
C’est un club très professionnel et ambitieux. Pour l’instant, je m’y plais beaucoup. J’ai hâte de voir où cette saison va nous mener. J’espère qu’on parviendra aux play-offs et qu’on jouera pour une place en Ligue A.
Tu es passeuse. Pourquoi avoir choisi ce poste ?
Quand j’ai commencé le volleyball, j’étais attaquante et passeuse. Au moment de réfléchir aux recrutements pour les universités, j’étais persuadée que le poste de passeuse me permettrait d’être acceptée dans de meilleures écoles.
Quelles qualités sont nécessaires pour être passeuse ?
La passeuse est vue comme le leader, le « quarterback » de l’équipe. Ce n’est pas le poste qui attire le plus d’attention, mais il est nécessaire à la victoire. On s’entraine surtout sur la vitesse, mais aussi sur les connaissances pour être la tête pensante sur le terrain. La passeuse doit être consciente de tout ce qui se passe des deux côtés du filet.
Comment imagines-tu le reste de ta carrière sportive ?
J’espère pouvoir continuer à jouer aussi longtemps que mon corps me le permettra. Je veux connaitre le plus haut niveau possible.
Quelles études as-tu faites et quelles sont tes passions ?
J’ai étudié la communication, avec une spécialité en relations publiques. Et en dehors du volley, je suis passionnée de musique. J’adore jouer du piano.
Et après, quel métier voudrais-tu exercer ?
J’espère un jour ouvrir une association à but non lucratif pour aider les filles à faible revenu à poursuivre leurs rêves et leur ouvrir de nouvelles possibilités.